Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle vous propose de vous accompagner pour vivre la Liturgie de la Parole à la maison : « Vivre le dimanche en confinement »
Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle vous propose de vous accompagner pour vivre la Liturgie de la Parole à la maison : « Vivre le dimanche en confinement »
Chers Paroissiens, Chers Amis,
Cette nouvelle période de confinement que nous traversons et d’interruption des célébrations dominicales prive notre Paroisse de revenus réguliers et importants générés par les quêtes.
Ces quêtes représentent 15% des revenus de la paroisse.
Même si nous sommes en chute très importante d’activités, les charges fixes demeurent (frais de fonctionnement, traitements des prêtres, salaires des employés…)
Il vous est possible de continuer à participer, à distance, à la vie économique de la paroisse via l’application « La Quête ». Cette application est à télécharger sur votre téléphone, votre tablette ou votre ordinateur. Elle est opérationnelle depuis deux ans maintenant et fonctionne de façon très satisfaisante et sécurisée.
Le Père Marc et le Conseil Economique
UN EXEMPLE PEU EXEMPLAIRE…
De l’évangile selon saint Luc (16, 1-8)
1 En ce temps-là Jésus disait aux disciples :
« Un homme riche avait un gérant qui lui fut dénoncé comme dilapidant ses biens.
2 Il le convoqua et lui dit : “Qu’est-ce que j’apprends à ton sujet ?
Rends-moi les comptes de ta gestion, car tu ne peux plus être mon gérant.”
3 Le gérant se dit en lui-même : “Que vais-je faire, puisque mon maître me retire la gestion ?
Travailler la terre ? Je n’en ai pas la force. Mendier ? J’aurais honte.
4 Je sais ce que je vais faire,
pour qu’une fois renvoyé de ma gérance, des gens m’accueillent chez eux.”
5 Il fit alors venir, un par un, ceux qui avaient des dettes envers son maître.
Il demanda au premier : “Combien dois-tu à mon maître ?”
6 Il répondit : “Cent barils d’huile.”
Le gérant lui dit : “Voici ton reçu ; vite, assieds-toi et écris cinquante.”
7 Puis il demanda à un autre : “Et toi, combien dois-tu ?”
Il répondit : “Cent sacs de blé.”
Le gérant lui dit : “Voici ton reçu, écris quatre-vingt.”
8 Le maître fit l’éloge de ce gérant malhonnête car il avait agi avec habileté
en effet, les fils de ce monde sont plus habiles entre eux que les fils de la lumière. »
Commentaire
Même en lisant l’évangile, il faut oser s’étonner ; surtout lorsqu’il s’agit d’une parabole, c’est-à-dire d’une technique d’enseignement très en usage à l’époque.
Une parabole (du vocabulaire grec, signifiant « comparaison » ou même « énigme ») est un récit agréable à entendre et qui n’a pas pour seul objectif de fournir une illustration mais d’inviter à chercher une signification.
Leur logique détonne. Ainsi dans l’évangile d’hier nous entendions la parabole de la brebis perdue (Lc 15, 4-7) : qui trouve normal qu’un berger qui possède cent brebis en laisse quatre- vingt-dix-neuf seules pour aller rechercher celle qui s’est égarée ? Mais il est bien évident que Jésus ne cherche pas à donner un cours d’élevage ovin…
Pour ce qui concerne le texte de ce jour, il est au moins étrange que pour enseigner le Maître prenne en exemple un gérant de biens aux méthodes fort peu honnêtes vis-à-vis de l’homme pour qui il est censé travailler : il le vole délibérément pour s’assurer le soutien de ses débiteurs… Ce qui est mis ici en valeur c’est l’habileté à se faire des amis, à créer des solidarités.
Si donc elle est possible pour les « fils de ce monde » quand il s’agit de situations ambigües, on est sans doute capables de la développer en restant fidèles à l’Évangile pour créer de la fraternité.
Dans cette parabole Jésus ne s’adresse plus aux scribes et aux pharisiens comme dans le chapitre précédent, mais à ses disciples, à ceux qui se veulent « fils de la lumière ».
En famille
– On pourrait lire ce texte à plusieurs voix : Jésus, l’homme riche, l’intendant, le premier débiteur, le second.
– À la suite que chacun dise son étonnement, son désaccord, son approbation, etc.
– Enfin on échangera quelques idées pour améliorer ou étendre ses relations en accord avec l’enseignement de Jésus.
Pour prier
Seigneur et Père de l’humanité, toi qui as créé tous les êtres humains avec la même dignité, insuffle en nos cœurs un esprit fraternel. Inspire-nous un rêve de rencontre, de dialogue, de justice et de paix.
Aide-nous à créer des sociétés plus saines et un monde plus digne, sans faim, sans pauvreté, sans violence, sans guerres.
Que notre cœur s’ouvre à tous les peuples et nations de la terre, pour reconnaître le bien et la beauté que tu as semés en chacun pour forger des liens d’unité, des projets communs, des espérances partagées.
Amen !
Pape François, encyclique Fratelli tutti, octobre 2020
Mgr Yvon Aybram
En ce temps-là,
les publicains et les pécheurs
venaient tous à Jésus pour l’écouter.
Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs,
et il mange avec eux ! »
Alors Jésus leur dit cette parabole :
« Si l’un de vous a cent brebis et qu’il en perd une,
n’abandonne-t-il pas les 99 autres dans le désert
pour aller chercher celle qui est perdue,
jusqu’à ce qu’il la retrouve ?
Quand il l’a retrouvée,
il la prend sur ses épaules, tout joyeux,
et, de retour chez lui, il rassemble ses amis et ses voisins
pour leur dire :
“Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé ma brebis,
celle qui était perdue !”
Je vous le dis :
C’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel
pour un seul pécheur qui se convertit,
plus que pour 99 justes
qui n’ont pas besoin de conversion.
Ou encore, si une femme a dix pièces d’argent
et qu’elle en perd une,
ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer la maison,
et chercher avec soin jusqu’à ce qu’elle la retrouve ?
Quand elle l’a retrouvée,
elle rassemble ses amies et ses voisines
pour leur dire :
“Réjouissez-vous avec moi,
car j’ai retrouvé la pièce d’argent que j’avais perdue !”
Ainsi je vous le dis :
Il y a de la joie devant les anges de Dieu
pour un seul pécheur qui se convertit. »
Si la dévotion à la Miséricorde a été remise en valeur par les apparitions du Christ à sainte Faustine au siècle dernier, cette spiritualité n’est pourtant pas récente : elle est inscrite dans Révélation. Dieu a manifesté sa Miséricorde par la création, par les alliances qu’il a conclues avec son peuple : l’histoire du salut est celle de la Miséricorde qui s’est penchée sur l’humanité blessée par le péché. Et il l’a manifestée en plénitude par l’incarnation de son Fils, sa mort sur la croix et sa résurrection. Jésus nous a en effet révélé le visage miséricordieux du Père en guérissant les malades, en accueillant les pêcheurs repentants, en laissant jaillir de son côté l’eau et le sang, signe du salut pour le monde.
Ce qui caractérise la Miséricorde divine, le plus grand de tous les attributs divins, c’est qu’elle ne s’intéresse pas aux qualités de l’homme, mais au contraire à sa petitesse. Elle ne s’adresse pas d’abord aux bien-portants, mais aux faibles. « Il y a des faibles qui réclament de l’aide, pauvres de biens et riches de dénuement ; le Seigneur les regarde avec faveur, il les relève de leur misère » (Si 11,12). Tout ce qui nous renvoie à notre faiblesse, que ce soit nos misères physiques, psychologiques ou morales, attire la Miséricorde de Dieu. C’est pourquoi tous les faibles, et spécialement les plus grands pécheurs qui se reconnaissent humblement comme tels peuvent les premiers profiter de cet amour miséricordieux. « Que les plus grands pécheurs mettent leur confiance en ma miséricorde. Ils ont droit avant tous les autres à la confiance en l’abîme de ma miséricorde ». (Petit Journal de sainte Faustine, 1146)
La clef pour vivre de la Miséricorde est de reconnaître humblement sa misère, d’accepter de dépendre de Dieu et de lui faire confiance. La constatation de notre faiblesse doit augmenter notre confiance dans la miséricorde. « C’est donc de grand cœur que je me glorifierai de mes faiblesses, afin que repose sur moi la puissance du Christ. […] Car lorsque je suis faible, c’est alors que je suis fort » (2Co 12,10). Croire que nous sommes trop pécheurs ou trop enracinés dans le mal pour profiter de la Miséricorde vient de notre orgueil, et c’est le seul vrai obstacle aux merveilles que la miséricorde veut faire dans nos cœurs. « Toute âme qui croit et à confiance en ma Miséricorde, l’obtiendra » (Petit Journal, 419). Et cette confiance n’est pas seulement un sentiment intérieur, mais elle se concrétise par la fréquentation des deux grands sacrements de la miséricorde que sont la confession et l’Eucharistie.
« Je donne à l’humanité sa dernière planche de salut, c’est-à-dire le recours à Ma miséricorde ». (Petit Journal, 997) Pourquoi est-ce la dernière planche du salut ? Parce que seule la Miséricorde peut se servir du mal sous toutes ses formes pour en tirer un bien. La Miséricorde divine ne se contente pas d’oublier le mal, mais elle le transforme. « La signification véritable et propre de la miséricorde ne consiste pas seulement dans le regard, fût-il le plus pénétrant et le plus chargé de compassion, tourné vers le mal moral, corporel ou matériel : la miséricorde se manifeste dans son aspect propre et véritable quand elle revalorise, quand elle promeut, et quand elle tire le bien de toutes les formes de mal qui existent dans le monde et dans l’homme ». (Jean-Paul II, Dives in Misericordia n° 6). La miséricorde, c’est la victoire de Dieu sur le mal, ce que reflète bien le tableau où c’est Jésus ressuscité qui apparaît, et donc triomphant du mal.
C’est pour proposer au monde cette ultime planche de salut que Jésus a tant insisté auprès de sainte Faustine pour qu’elle répande la dévotion à la miséricorde.
Parmi les demandes du Christ à sainte Faustine, on peut relever quatre pratiques.
Durant ce temps de confinement je lis la parole du seigneur afin de lui demander de convertir mon cœur et de profiter de ce temps pour me confesser.
En ce temps-là, de grandes foules faisaient route avec Jésus ; il se retourna et leur dit : « Si quelqu’un vient à moi sans me préférer à son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères et sœurs, et même à sa propre vie, il ne peut pas être mon disciple.
Celui qui ne porte pas sa croix pour marcher à ma suite ne peut pas être mon disciple.
Quel est celui d’entre vous qui, voulant bâtir une tour, ne commence par s’asseoir pour calculer la dépense et voir s’il a de quoi aller jusqu’au bout ?
Car, si jamais il pose les fondations et n’est pas capable d’achever, tous ceux qui le verront vont se moquer de lui : “Voilà un homme qui a commencé à bâtir et n’a pas été capable ’achever !”
Et quel est le roi qui, partant en guerre contre un autre roi, ne commence par s’asseoir pour voir s’il peut, avec dix mille hommes, affronter l’autre qui marche contre lui avec vingt mille ?
S’il ne le peut pas, il envoie, pendant que l’autre est encore loin, une délégation pour demander les conditions de paix.
Ainsi donc, celui d’entre vous qui ne renonce pas à tout ce qui lui appartient ne peut pas être mon disciple. »
Après cet Evangile, être disciple du Christ mérite d’y réfléchir !
Sommes-nous prêts, comme le demande également Saint Benoît dans sa règle monastique, à « ne rien préférer au Christ ! » Qui préférons-nous : le Christ ou notre famille, nos amis, notre vie ? Et pourquoi ?
La devise de Sainte Jeanne d’Arc est : « Dieu premier servi ! » Il s’agit donc de hiérarchiser nos préférences, pas de rejeter… « Dieu est Amour, Il nous a aimés le premier » (1Jn 4,10-16), Il nous demande de nous aimer comme Il nous aime !
N’oublions pas que par notre baptême, nous sommes appelés à la sainteté, à témoigner de cet Amour de Dieu. La vie des Saints peut nous aider dans notre cheminement. Ainsi, n’oublions pas qu’avant leur conversion beaucoup de Saints étaient de grands pécheurs : Saint Pierre a renié le Christ trois fois ; Saint Paul persécutait les chrétiens avant de rencontrer le Christ sur le chemin de Damas ; Saint François d’Assise menait une vie dissolue…
Quant à Charles Borromée (1538-1584), neveu du Pape Pie IV, il fut nommé cardinal à 22 ans et administrateur du diocèse de Milan et de légations lui octroyant d’importants revenus. A la mort de son frère aîné, il se converti, se fit ordonner prêtre et il renonça à tous ses privilèges. Il fut nommé archevêque de Milan en 1564. Il mis fin à tous les abus qui sévissaient dans ce vaste diocèse, ayant le génie de l’organisation, le goût de la lutte et l’art de mettre au pas les récalcitrants. Il fonda trois grands et trois petits séminaires, et plus de 800 écoles où 6000 prêtres formés par lui enseignaient le catéchisme. Jusqu’à la fin il fut en butte à l’hostilité des laïcs, des clercs et des moines que ses initiatives dérangeaient.
Grande fut l’influence de Charles Borromée, ce qu’il avait fait à Milan ayant servi de modèle pour réformer l’Eglise en plusieurs pays, dans l’esprit du Concile de Trente. Un exemple à suivre !
Nous avons entendu à la fête de la Toussaint, Jésus annoncer à ses disciples les Béatitudes, le chemin vers la sainteté. Là aussi, nous devons renoncer à l’idée du bonheur que nous avons spontanément, c’est-à-dire être jeune, riche et en bonne santé, pour faire place au bonheur véritable promis par les Béatitudes qui sont le cœur de la Bonne Nouvelle de Jésus Christ : la Venue du Règne de Dieu -celui de l’Amour- qu’Il inaugure et auquel Il nous invite à collaborer.
Ce bonheur est le chemin de l’Amour : « Heureux » les pauvres de cœur, les doux, les justes, les miséricordieux, les cœurs purs, les artisans de paix ! Et pourtant les épreuves ne sont pas absentes, comme l’indiquent « la persécution pour la justice, les insultes et la persécution à cause de Jésus ».
Les verbes de la première et la huitième béatitudes sont au présent : « Car le Royaume des Cieux est à eux ». Les verbes des sept autres Béatitudes sont au futur pour bien montrer que ce qui est accompli présentement en Jésus est toujours en devenir pour l’homme dont l’histoire est encore inachevée. Un bonheur futur, déjà actuel par la foi, mais qui ne se réalisera pleinement que dans le monde à venir : celui du Royaume de Dieu.
Cette espérance doit transfigurer notre présent : « Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux » nous dit Jésus. Il fut le premier à vivre les Béatitudes qu’Il proclamait. Et parce qu’Il a vécu dans Son humanité, aussi bien la pauvreté que la douceur, la miséricorde que la persécution, Jésus inaugure par Sa Mort et Sa Résurrection le Règne de Dieu auquel nous devons contribuer dès ici-bas déjà en priant notre Père : « Que Ton Règne vienne ! ». Amen.
Père Patrice Pellen
Nanterre, fête de la Toussaint 2020
Chers frères et sœurs du diocèse de Nanterre,
Nous traversons décidément une période difficile, trop difficile pensent peut-être certains.
La persistance du coronavirus est éprouvante pour tous. Je pense bien sûr tout spécialement aux malades, aux soignants mis à rude épreuve ainsi qu’aux défunts et aux familles en deuil.
J’imagine l’inquiétude familiale, spirituelle, professionnelle, économique qui peut vous habiter au seuil d’un reconfinement notamment liturgique.
Et voici qu’à tout cela est venu s’ajouter le drame épouvantable des meurtres de la basilique Notre-Dame de l’Assomption à Nice. Le P. Hamel il y a quelques années, un professeur d’histoire la semaine dernière, des fidèles et un sacristain à Nice : notre Eglise et notre société, dans leur diversité, ont été touchées en leur cœur.
La tentation est grande de se laisser aller à l’incompréhension, au découragement voire à la colère. Mais un surcroît d’épreuves peut aussi réveiller en nous un surcroît de courage et de persévérance dans la foi et la charité.
Ne nous laissons pas aller à l’amertume. Réinvestissons-nous dans la prière personnelle et familiale. Soyons particulièrement attentifs aux personnes isolées, aux mourants, aux familles en deuil. Aucune disposition officielle ne nous en empêche désormais.
Le premier confinement correspondait avec le carême, le deuxième coïncidera pour une part avec l’Avent : que ces étonnantes circonstances liturgiques nous aident à vivre les épreuves du temps présent à leur juste profondeur.
À vues humaines, nous sommes les victimes d’une deuxième vague du virus. Dans la lumière de Dieu, soyons les artisans d’une nouvelle vague de foi, d’espérance et de paix.
Dans la lumière de la Toussaint, fête lumineuse de notre vocation à la sainteté et de notre espérance éternelle, soyez tous assurés de mon dévouement et de ma prière.
Matthieu Rougé
Evêque de Nanterre
Confirmation des adultes du diocèse avec célébration eucharistique présidée par Mgr Matthieu Rougé à 15h à l’Immaculée Conception.
Au lendemain du confinement et de la Pentecôte, deux ans après sa nomination à la tête du diocèse de Nanterre, Mgr Matthieu Rougé, publie une lettre pastorale intitulée Un grand vent de liberté.
Datée du 1er juin 2020, quarantième anniversaire de la visite du Pape Jean-Paul II à Issy-lesMoulineaux (pour y rencontrer les évêques de France réunis au Séminaire Saint-Sulpice), cette lettre ouvre des perspectives missionnaires, à partir de l’expérience du confinement en particulier.
Elle se focalise sur trois dimensions de la vie de l’Eglise : la fraternité, l’intériorité et la créativité, tout en insistant aussi sur les vocations et la mission. Jalonnée par des séries de question, elle est destinée à favoriser la réflexion et l’engagement de toutes les forces vives de l’Eglise catholique dans les Hauts de Seine pour les mois qui viennent.
Découvrez La Lettre Pastorale.
Le lundi 22 juin, Mgr Rougé célèbrera à Sainte Thérèse l’institution au lectorat et à l’acolytat d’Arnaud de Chaisemartin et de Mathieu Chérouvrier, avant leur prochaine ordination diaconale le 4 octobre prochain.
Voici leur invitation.
Publiée par Paroisse Ste-Thérèse de l'Enfant-Jésus de Boulogne-Billancourt sur Dimanche 31 mai 2020