Dans sa version actuelle, la mondialisation économique a ses gagnants mais aussi ses perdants. Quel est le poids des uns et des autres ? Y a-t-il moyen de réduire substantiellement la part des perdants ? A quelles conditions ?
La mondialisation tend à engendrer des sociétés pleinement ouvertes à la diversité des cultures et des religions. Dans une vision radicale, il s’agit de construire des sociétés post nationales, la catégorie même de l’étranger tendant à disparaître. De telles sociétés sont-elles susceptibles d’être viables ?
Le développement de l’interdépendance économique entre nations va-t-elle réellement conduire à réduire les conflits qui les opposent ou est-elle au contraire de nature à aviver ces conflits ?
Jérôme Chapuis, journaliste, a animé cette conférence.
Les intervenants étaient :
Alain Finkielkraut, philosophe et académicien
Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI
Jérôme Chemin, secrétaire national de la CFDT cadres.
Repères & Perspectives – mardi 16 octobre 2018
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